قصيدة مترجمة للشاعر عزوز عقيل
Les oiseaux s’abreuvent de chant
Un poème de :
Azzouz Akil
Traduit en Français par :
NADJIB KAAOICHI
Un poème de :
Azzouz Akil
Traduit en Français par :
NADJIB KAAOICHI
Est-ce son cœur mon
mal
Ou ce sont les
prochains nuages
Sur la rive de la plaie Ô
Sur la rive de la plaie Ô
son aube villes pluvieuses
Ô sa silhouette absente dans sa présence
Le cœur Tiédeur de Ses balles
Ou alors les poèmes avouant le parfum du lieu
Elle est le possible et l’impossible et la ruine
Ô sa silhouette absente dans sa présence
Le cœur Tiédeur de Ses balles
Ou alors les poèmes avouant le parfum du lieu
Elle est le possible et l’impossible et la ruine
Qui pèse sur son cœur Signe du brouillard
épais
Et sur le sable de ses pas embaument
Et sur le sable de ses pas embaument
les roses et les soucis
Pour que son matin s’ingénie Est-ce La passion
Pour que son matin s’ingénie Est-ce La passion
ou c’est son cœur quand
un amant y danse
L’a égaré sur l’écho de ses murs hospitaliers
La balle au cœur ne fait
L’a égaré sur l’écho de ses murs hospitaliers
La balle au cœur ne fait
pas mal Ne fait pas les ères
Et la belle parole d’un pretenceiux peut se perdre
Comme peut se perdre
Et la belle parole d’un pretenceiux peut se perdre
Comme peut se perdre
la balle entre ton cœur et les lieux
Est-ce la sagesse de la vision
Est-ce la sagesse de la vision
Ou c’est le matin le long des pas
La nuit s’évanouit jusqu'à ce que
La nuit s’évanouit jusqu'à ce que
les senteurs du parfum soient une âme
Cernées par des cités incendiées
Cernées par des cités incendiées
Ou façonnées des vestiges des cités
Les sagesses et quelques contes commencent ici
Il est ainsi dit que les amoureux
Les sagesses et quelques contes commencent ici
Il est ainsi dit que les amoureux
se font trop
d’illusions Un peu de lumière
suffit pour que la violette soit une
balançoire
Et les jardins un fruit errant
Entre les quais de la tristesse ou des vestiges des cités
La cité peut rester muette
Et peut être dans l’isolement
Et les jardins un fruit errant
Entre les quais de la tristesse ou des vestiges des cités
La cité peut rester muette
Et peut être dans l’isolement
un peu de thé ne vaincra pas la fatigue
La cité est plongée dans le jeu
Et le façonnement dans l’absence prolonge les chansons
Au rythme des murmures des visions
La cité est plongée dans le jeu
Et le façonnement dans l’absence prolonge les chansons
Au rythme des murmures des visions
quand la réjouissance se fait douce
La cité est une place pour le chant
La cité est une place pour le chant
emboité qui gâte ton gout
L’orgueil te blesse et tu pars embrassant
L’orgueil te blesse et tu pars embrassant
ton rêve et chevauchant ta plaie
Ta plaie est la leur
Quand le brouillard ravage le sable
Ta plaie est la leur
Quand le brouillard ravage le sable
de ces pas Et je vois le cœur endeuillé
C’est ici la place du sable et de l’amour
Leur place est celle de la belle absence
C’est ici la place du sable et de l’amour
Leur place est celle de la belle absence
Et la notre est celle de la sagesse
De nos pulsations La tristesse entame
De nos pulsations La tristesse entame
joyeusement son voyage
Maintenant les ères des lamentations chutent
Et d’autres font de même sur une danse qui ose marcher
Les quais des cités dormantes geignent
Je me réveille
Tu t’endors fatiguée
Et sur mon cœur qui saigne
Les oiseaux atterrissent
Pour s’abreuvoir de chant..
Maintenant les ères des lamentations chutent
Et d’autres font de même sur une danse qui ose marcher
Les quais des cités dormantes geignent
Je me réveille
Tu t’endors fatiguée
Et sur mon cœur qui saigne
Les oiseaux atterrissent
Pour s’abreuvoir de chant..